Ces informations sont données à titre informatif mais ne remplacent en aucun cas une consultation. Pour une meilleure approche, consultez notre FAQ ou contactez le Dr Cocchi à La Teste de Buch - Arcachon et à Bordeaux.
L’efficacité et suites de la séance de Cryolipolyse
Dans les suites immédiates de la séance de cryolipolyse, la zone traitée est rouge avec des endroits blanchis, empâtée (œdème), sensible au toucher et comme encore anesthésiée.
Ces symptômes disparaissent rapidement, mais la sensation d’anesthésie peut ne s’estomper que progressivement en 1 mois environ.
Les précautions à prendre après la séance de cryolipolyse afin d’optimiser le traitement et les résultats sont de ne pas pratiquer une activité sportive trop intensive dans les 3 semaines qui suivent, et préférer plutôt les sports aquatiques tels que la natation ou l’aquabike plutôt que la course à pied ou les sports de combat par exemple.
De même, ne pas se rendre au sauna, au hammam dans les 3 jours qui quivent pour éviter de chauffer les tissus après leur refroidissement, et éviter l’aspirine et les médicaments anticoagulants.
En terme d’efficacité on note une amélioration visible de la zone traitée significativement suffisante en une seule séance dans près de 80% des cas, en particulier les zones ayant une épaisseur de graisse inférieure à 5 cm, et ce après 2 mois, la destruction autoprogrammée des cellules graisseuses étant progressive.
Une deuxième séance pour parfaire le résultat ou sur des zones très épaisses peut être réalisée au bout de 2 mois. Le recours à une troisième séance est exceptionnel.
Les études cliniques et les biopsies réalisées attestent qu’il n’existe aucune lésion sur les nerfs en périphérie de la zone traitée, ainsi qu’aucune modification sensorielle durable à type d’hypoesthésie (perte de sensibilité de contact de la peau).
De même, la destruction des cellules graisseuses n’entraine aucun impact à type d’augmentation du taux de cholestérol et de triglycérides ou sur la fonction hépatique. Quelques cas très rares d’hyperplasie paradoxale, c’est à dire une augmentation en volume de la graisse traitée, et d’induration sous-cutanée ont été rapportés.